Le test amant d'Evi (2/3)

Le test amant d'Evi (2/3)

Publiée le 23 novembre 2018  

Retrouvez la première partie ici.





























CHAPITRE 4 : ON SE DECOUVRE


Il n’y aura pas de ‘’je t’aime’’, nous ne sommes pas là pour cela. Il n’y aura pas de long baiser langoureux échangé sur nos lèvres non plus, l’important n’est pas là. Nos lèvres auront d’autres endroits où s’égarer, pour procurer bien du plaisir. Nus, on découvre les corps qu’on tentait de deviner, lentement sans sourciller, nous sommes a priori assez normaux, je le vois, comme je le devinais, Siffredi peut dormir tranquille. Malgré tout, ce n’est pas désagréable à regarder. 

Il ne bande pas encore, il n’est pas bousculé par des premiers émois, c’est rassurant. Son sexe ne doit pas être bien gros, mais il présage de bons moments. Je ne cherche pas la défonce, non mais de la délicatesse. Il s’approche et finit de glisser ma culotte sur les pieds, traînant ses doigts bien doux sur la peau rafraichie qui déjà, frémit. 
Il arbore le sourire délicat d’une personne sûre d’elle, il n’exulte pas, pas du tout, il sait l’effet qu’il procure. 
Il s’approche plus près, me tourne le dos au lit et les mains sur mes épaules me guident pour me coucher sur le lit. Il me regarde sans trop insistance, mais me fait comprendre de me déplacer dans le sens du lit, sur le côté, puis il s’allonge face à moi, sans chercher un baiser de bouche, sans un mot, face à face, les chaires de nos cuisses s’effleurent, s’échangent déjà des petites chaleurs. 

Nous sommes l’un vers l’autre, les yeux se parlent, il me caresse avec douceur le côté gauche de la cuisse, jusqu’à un peu plus haut et avec une plus grande délicatesse glisse ses doigts habiles sur les fesses. Je fais de même, il n’est pas très poilu, mais n’est pas imberbe non plus. Je sens son vit enfler doucement sans qu’il ne devienne trop ferme, pour autant, je le regarde prendre de l’orgueil, il est comme je l’imaginais, assez fin, mais assez long. Il insiste plus fermement sur les fesses, s’approchant de l’entre-fesses. Je comprends qu’il souhaite mener le bal. Je mime ce qu’il me fait, c’est un bisexuel déclaré… ses fesses sont moites, reste de rinçage d’une douche. 

— Dis l’ami ! Puis-je te raser le bas, je n’aime pas trop les poils et puis ce n’est pas désagréable n’est-ce pas ! Tu retrouveras des douceurs insoupçonnées. Tu pourras aussi me parfaire le pubis… j’adore qu’un homme me rase le bas. 

Mon propos le surprend un peu, mais avec un sourire à décrocher une lune, il acquiesce sans aucun problème. Je cueille ma petite sacoche sur la table, elle me suit partout celle-là. Je sors un mini rasoir, un truc de femme, un peu de gel et je glisse sous ses fesses une serviette de toilette. Il en profite pour sortir de son côté, des préservatifs, du lubrifiant et un mini toy. L’animal libère largement ses hauts de cuisse comme une femme qui va mettre bas. Je chausse mes lunettes presque neuves et je m’applique à enduire le pubis, les burettes et jusqu’au bord des lèvres anales d’une crème à raser hydratante. Je masse avec le bout des doigts soulevant le phallus qui prend plus d’orgueil. 

À ce qu’il se laisse faire, sans aucune retenue, cela lui plaît bien évidemment. J’entreprends au bout de quelques minutes le rasage, manuel, avec grande attention. Avec minutie, je déshabille la peau des poils, je prends mon temps, l’endroit est délicat et fragile, il n’y faut pas provoquer la moindre inflammation ou petite coupure. 
J’ai l’habitude, il y a bien longtemps que mon mari se laisse faire, puis chaque homme et femme que je rencontre dans un lit, j’essuie le rasoir sur la serviette puis je continue jusqu’à rendre glabre tout son bas, ses burnes, son pubis et ses fesses du pied de son sexe jusqu’au bord de l’anus, il faudra qu’il se justifie auprès de sa régulière d’avoir une peau si douce de bébé à cet endroit. 
Je l’essuie avec une lingette avec précaution, je sens bien la peau devenue douce, bien douce, lui aussi doit le ressentir bien mieux encore. 

Je lui fais comprendre qu’il s’agenouille pour parfaire les testicules l’entour des lèvres annales sans qu’il résiste. J’en profite pour y laisser traîner mes doigts pour des caresses sobres et délicates de douceur m’attardant sur ces zones glabres au plus près du pénis et des lèvres anales, sans pour autant les caresser encore. Je sens bien la peau de ces endroits est devenue bien plus douce, plus fraîche aussi, comme une peau neuve, délicate, presque fragile. Le bougre doit bien le percevoir, il se laisse plus encore aller, sans qu’une de ses mains pour autant ne quitte la caresseuse. 

Puis, je lui tends le rasoir dans ses mains, un sourire prémonitoire se dessine sur son visage, je m’allonge près de lui, sur le dos. J’écarte bien les jambes et je prête mon pubis à toutes les lumières et surtout à son regard pour qu’il finisse le rasage que j’avais bien commencé le matin pourtant au-devant d’un tain bien trop curieux. Je trouvais le rasage convenable, mais l’expérience me dit qu’il n’y a point de perfection à s’épiler soi-même même si on y prend un grand soin. Rien de mieux qu’une troisième main et un autre regard détaché et surtout bien plus près de l’endroit pour qu’il soit plus nu et plus doux, plus jeune aussi, je pense… Je sens la fraîcheur du lubrifiant sur la peau dépilée, cela procure des frissons pas désagréables, d’autant que ses doigts se promènent sur l’endroit prenant quelques plaisirs à caresser les grandes lèvres. Il prend toutes les précautions du monde que la fragilité exige, protégeant au mieux le bord intérieur des lèvres. 

Le cochon en profite, je sens son regard se gaver, ses doigts frémir, le téton se durcit le clitoris gonfle. Il prend tant de temps que je me laisse aller à mon ressentiment, c’est vraiment agréable de se sentir ainsi caressée, mais ces plaisirs, il faut les partager. Je resserre un peu les cuisses pour lui faire comprendre, il stoppe le rasoir pas ses doigts. Il lève la tête et nos regards se croisent sans se parler vraiment, les bouches ne se sont pas encore goûtées. 

Est-ce bien le moment nécessaire et est-ce nécessaire ? Ici ne naîtront pas de sentiments qui voudront aimer et vivre avec un autre si exigeant. Ses fesses sont à portée de mes mains, je pose une main dessus. Il ne les serre pas, bien au contraire, je peux glisser la main entre elles, par derrière, sans aucune résistance, il laisse l’accès à ses lèvres anales, je les caresse avec un doigt préalablement lubrifié du gel qu’il a laissé sur les deux tables de chevets. Il a sans doute pratiqué aussi un lavement pour ne pas résister ainsi, il ne va pas le regretter. 
Il se tourne et s’allonge sur le ventre pour me laisser faire. Nous voilà quelque peu rassurés, les frontières du plaisir des sens n’auront pas de limites, mais cette liberté ne veut pas dire pour autant perversité, il n’y aura pas de barrière, c’est déjà bien. Il se laisse faire le bougre, il apprécie ce massage annal, j’y prends un grand soin, mon regard s’attarde sur l’endroit. Il a un beau petit trou du cul, bien rond, bien plissé, des fesses bien lisses et nues, je m’égare sur ces lèvres, y approche ma langue pour lui pratiquer un anulingus déloyal. J’apprécie l’endroit et ma langue aussi. 
Mes doigts y reviennent un peu plus pressants, massant les bords. Il jubile, me faisant comprendre que je pouvais glisser mes doigts plus loin. Cela démarre fort, pourvu que cela dure et qu’il me rende la pareille. Les muscles sont relâchés, je n’ai pas de mal à le pénétrer et pratiquer un va-et-vient, il apprécie cette petite masturbation délicate, je ne cherche pas plus loin pour l’instant, je reste sur le bord des lèvres. 
Je sens bien que cela lui plaît comme cela me plaira aussi, il pratiquera, c’est certain une semblable approche. Il est complètement passif pour l’instant, il profite bien de se laisser bercer par le temps et surtout par la délicatesse de mes doigts, dans un langoureux moment. Ses muscles sont détendus, je sens bien que le bout de mes doigts l’emmène dans un espace de ressenti, bien conscient. J’y reste un petit moment, pendant ce temps dans une langueur soporifique, j’apprécie lui bien plus, je comprends à regarder son anus, comme sera le mien quand il me pratiquera ainsi. J’ai besoin des images, de les garder secrètement, cela amplifie le senti et fige ainsi ce bout de temps. 

Il comprend que la nuit ne se passera ainsi, je n’en demandais pas tant, je n’étais pas inquiète qu’il ne s’active, chaque plaisir a son temps. Il me caresse la main, pour la rassurer, il se met sur le côté un instant seulement pour croiser mon regard, le sien est empli d’étoiles. Il se retourne délicatement sur le dos il me laisse le dominer, je ne cherche pas pour autant à me comporter ainsi, il veut seulement me faire comprendre qu’il ne se comportera pas comme un mâle vulgaire, un bourrin dominateur qui ne cherche qu’à cracher son orgueil au fond d’un charnière tolérante. 

Je me retrouve donc sur lui, avec plus d’initiative, plus active, ma poitrine est sur la sienne un peu trop velue. Nos souffles se croisent sans que les lèvres ne s’aventurent sur les autres encore. Ma main glisse entre nos corps et s’égare plus bas, j’y rencontre ses testicules, bien gonflées, il doit être en retard d’affection, j’espère bien qu’il prendra son temps. Je l’embrasse furtivement, un court baiser qui n’échange rien mais qui pigmente le respect pour l’autre. Je sens en lui se dessiner une malice, sans doute pas trop pressé, de presser le temps. 


CHAPITRE 5 : TETE BECHE


Toujours sur le dos, il me laisse encore l’initiative, orienter le débat sans ébat encore. Je glisse ma main sur son vit bien raide maintenant, pas un gros engin, mais bien foutu quand même, bien droit et avec un beau gland bien décolleté, le prépuce est intact. Quelque part, cela me semble normal, les religions invalidantes ne doivent pas permettre ces plaisirs incestueux. 
Je quitte son regard pour bien veiller sur ma main qui caresse l’adultère pour un plaisant instant. J’aime bien ce moment où le vit ne lui appartient presque plus et qu’il est ma chose pour moi, pour que je le câline et plus, qu’il glisse à ma volonté dans mes doigts. 
Je ne serre pas trop fort pour ne pas le contraindre au décalottage, tout doit se faire en douceur. Je sens sa main droite se glisser entre mes cuisses, je lui offre complètement l’endroit, juste pour quelques doigts qui s’attardent sur mes lèvres assoiffées avec la délicatesse d’un artiste-peintre. 
Que sa peau est douce ! Certain que l’animal n’exerce pas un métier manuel et puis sur cette peau éclaircie, la sensibilité est accrue, j’en baisse les paupières de plaisirs, me concentre sur le ressenti, je fonds comme un glaçon au soleil. Je pose délicatement mes lèvres sur son gland. 

Mon regard perd la vision, je ne vois plus rien que le bas du ventre… et les testicules qui grossissent vus si près et le haut des cuisses. J’entrouvre la bouche pour qu’il sente le bout de ma langue, qui se lâche un peu, léchant le bout du membre comme une boule glacée à la fraise. Je me retourne pour être tète bèche, sans le débrancher pour autant. 

On se met sur le côté et j’entreprends une petite fellation toute en délicatesse, je n’avale rien, je joue seulement avec le gland du revers au bout… pour commencer. Il faut en garder sous la langue, j’aime en plus que ces plaisirs aillent crescendo. Lui, me caresse d’une main les testicules bien enflés et de l’autre le pourtour anal massant de nouveau ses lèvres lubrifiées. Je sens bien une certaine nonchalance à m’assumer, le plaisant passe à plus d’indolence. 
Il faut gérer ce que l’on donne te le ce qu’on reçoit, ce n’est pas si facile de trouver un certain équilibre, c’est presque indécent. Dans mon imaginaire, je perçois bien son membre dans ma bouche gourmande et érotique rêverie qui sublime l’instant. 

Je passe ma jambe gauche au-dessus de son visage pour que mon pubis s’offre et à son regard et à ses lèvres, sa langue et ses doigts, il a de quoi faire. Tandis que je glisse ma langue le long de sa hampe généreusement, du gland jusqu’aux testicules, que j’engloutis une par une et suce avec une grande délicatesse les prenant pleine bouche. La peau rasée est d’une douceur, il doit ressentir une fraicheur par la salive, je reste sur l’endroit, la langue est gourmande, j’aime bien, les femmes y ont un indéniable pouvoir de confiance… la suceuse ou le suceur pourrait mordre ou croquer. Je lui titille les lèvres anales avec deux doigts bien gras qui glissent doucettement dans l’entrée de l’anus. Je sens bien les lèvres plissées mais ordonnées, bien plus que celles de sa bouche, lui entreprend une léchouille soignée du péri clitoridien. Le rasage plus près de la peau libère des sensations plus intenses de plaisir, je sens le derme de l’endroit fébrile et excité, le ressenti est décuplé. 

Le stimulus de la zone érogène irrigue le cerveau plus encore d’inattendus spasmes. Je remonte de nouveau sur le sexe pour l’engloutir entièrement dans la bouche jusqu’aux amygdales. Puis je le lèche, le suce et je l’aspire, je resserre bien les joues pour le protéger des dents, je m’arrête sur la collerette du gland, l’engin est bien plus raide que quelques minutes plutôt, comme un saucisson bien sec tant il est dans état d’excitation maximum. Je masturbe son vit avec la bouche, m’arrêtant avec délicatesse sous le gland pour lécher avec ma langue tout le bout. La salive coule de ma bouche sur son pubis. 

Il reprend un peu d’initiative pour ne pas sombrer. Il s’applique alors à effleurer mon pubis baladant le bout de ses doigts près des grandes lèvres puis des plus petites, s’attardant un moment sur l’endroit entre caresses et effleurements. Sur le clitoris de même, il le prend avec deux doigts pour le sublimer, cela m’envahit de frissons. Je sens les poils des bras se dresser et la peau frissonner. 
Il n’est vraiment pas maladroit, il a de l’expérience, acquise avec bien d’autres que moi. Je lui fais ressentir ce plaisir qui m'envahit, ma bouche quitte son gland pour ses doigts que je lèche avec avidité, je caresse ses testicules du bout des phalanges elles sont bien lisses, je le ressens bien plus avec mes doigts qu’avec ma bouche. 
Du bout des doigts, je remonte doucement sur sa verge jusqu'au bas du gland que j’excite sans façon de nouveau, j’en fais le tour doucement dans un effleurement subtil, je descends, puis je remonte sur la tête, remerciant la nature d’être si généreuse. Il est ferme comme un manche de marteau. Lui me glisse l’index dans les babines doucement, l’endroit est très humide, il trouve rapidement sur le devant avec la zone la plus agréable, ce qui serait le point G, ce qui est le point le plus sensible. Il prend beaucoup de temps à masser et caresser l’endroit avec le bout de son doigt, l’autre main glisse un de ses doigts autour de mon anus, bien plus lisse que le sien, il me colle une bonne dose de lubrifiant et s’amuse à masser l’entrée des plaisirs soi-disant interdits. 
Cela me fait un effet monstre, je sens monter en moi, une plénitude qui me fait oublier le reste. J’essaie de lui faire ressentir, ce que moi, je ressens, même si nos corps sont différents, il y a une multitude de zones sensibles et communes. Il n’est point urgent qu’il se livre complètement encore, moi non plus d’ailleurs, il y a encore beaucoup à se découvrir. 

Il me lèche avidement le pubis, les orphelines et les entours du clitoris, il s’y arrête et s’en occupe comme une confiserie fine, avec attention le suce, le lèche, l’étire doucement, il prend du volume, rien à voir avec un phallus, mais quand même, je le sens bien se gonfler mon petit cornichon. Ensuite, il égare sa langue jusqu’au bord de l’anus, j’aime bien qu’on me lèche ainsi aussi goulûment qu’il le fait avec entreprise sans pour autant vouloir prendre possession de l’endroit, j’ai maintenant deux doigts qui lui trifouille les parois anales, il apprécie bien, je le comprends, j’aime aussi ces pratiques. 
Je sens un premier jus sur mes lèvres le premier de son vit, le lubrifiant le liquide pré éjaculatoire, ce n’est pas excellant, mais pas désagréable non plus, c’est bon signe, il va tenir un bout de temps avant de lâcher ses semences. Ce n’est pas sa priorité assurément, comme je le cherche aussi, il essaie de faire durer le temps. Je reviens vers ses testicules pour jouer avec encore. Elles sont toujours bien fraîches, les spermatos sont au frigo. 

Lui continue de promener sa langue vers l’anus. Et je reste sur le phallus pour lui dresser son orgueil. Puis, je glisse ma bouche vers ses arrières, lui quitte les miens. Je lui lèche les lèvres, c’est plaisant, il doit bien le ressentir. Il ne se contracte point, bien au contraire les muscles de l’endroit se relâchent donnant à la langue plus de profondeur, une main masturbe le jonc avec douceur l’autre caresse les fesses comme pour amadouer la bête, quelques petits boutons, n’ont pas encore vu le soleil. J’en profite pour que ma langue centre son arrogance sur ce petit trou bien accueillant enserré par des lèvres ridées, il appréciait bien la léchouille. Il écarte largement les cuisses, pour que je glisse plus loin, plus près de l’endroit où la morale des croyants s’offusque. Pourtant, les curés violeurs d’enfants ne s’en privent pas tant. Je prends bien du plaisir maintenant à regarder mes doigts le pénétrer. 
Ici on est loin des préjugés de ces gens d’église, nous sommes dans le bien-être du corps et de l’âme. 

J’étale de nouveau une noix de lubrifiant sur l’endroit, je masse l’entrée de l’anus et le pénètre de deux doigts, aucune résistance bien au contraire, un relâchement qui appelle plus d’allant, je le suce de nouveau en même temps. Il comprend bien le plaisir que j’ai à le regarder ainsi, comme lui prend du plaisir à voir mes orifices. Il montre ses faiblesses féminines de l’homme, physiquement au moins, ce que tout autre orgueilleux traiterait de pédale. 

Mais le plaisir est bien plus important que ce qu’en pensent d’autres, qui, de toutes les façons ne savent pas ce qui se passe là. Il m’oublie un peu en cet instant, je ne peux plus mes mains et ma bouche sont bien occupées, je sens les siens faire de même, m’approchant de l’anus jusqu’à le visiter courtoisement. 
Qu’il est doux son trou du cul comme le vagin d’une jouvencelle, étroit mais pas serré !J’entreprends un tout petit va et vient, il fait de même, il glisse son pouce dans mon vagin, me voilà comblée de trois doigts qui s’agitent doucereusement, bien lubrifiés, je ressens une excitation plus personnelle, la pression sanguine augmente un peu, tout se durcit et gonfle un peu, des vapeurs bienfaisantes m’envahissent, cela doit être de même pour lui, nous faisons durer le plaisir un bout de temps encore… Je sens bien ces deux doigts sur les deux parois amplifiant le plaisir du ressenti, je sens tout mon corps s’offrir, des bouffées de chaleur sur la peau s’évanouissent, le visage rosit comme certains fruits quand ils deviennent murs.
Qu’il est bon ce temps quand il n’est plus de certitudes, quand un certain plaisir se fait ressentir quand par tous les pores de la peau le désir s’évapore ! Les yeux ne voient plus rien, l’ouïe est tue, les sens sont aux sens, acquis, il n’y a rien d’autre qui compte, seulement cette plénitude qui libère les corps des exigences. 
Sommes-nous encore une femme et un homme ? 
Seulement dans l’apparence, nos esprits sont bien plus libérés à ressentir plutôt qu’à exprimer. Deux êtres, c’est certain, plus très conscients de l’être, mêlés dans une même extase, jouant avec les zones sensibles disponibles de l’autre. 

Mes enfants et mon mari sont bien loin en ce moment les préoccupations ont disparu, l’instant est unique et prolifique. Rien ne sert en tout cas à se justifier. Je reviens voir phallus, un peu en manque de forme, pour lui redonner une certaine dignité, cela doit être de même pour moi, mais cela ne se voit beaucoup moins. Je lui masse ces rides anales sans la présomption de vouloir les effacer, mais elles sont bien mignonnes en ce moment, elles seront requises pour bien moins plaisant en d’autres moments. 
La fellation et mon petit doigt lui redonnent une fierté, il se tient encore. Deux petites claques sur ces fesses pour lui faire comprendre que je veux me libérer de l’endroit, nous nous retrouvons de face à l’endroit, nous échangeons un sourire narquois, je le laisse sur le dos et m’allonge sur lui, entre ses grandes jambes ouvertes, les miennes au mieux. Je frotte son vit sur mon clitoris et sur les lèvres, lentement, j’ai besoin de retrouver la mesure. Je prends bien mon temps pour redonner de l’envie au pubis, sans trop insister, il faut que sa verge ne soit pas contrainte au risque de perturber le prépuce et pour laisser une caresse légère des deux sexes. Je persiste sans qu’il n’ait pas à s’affairer. 

Il apprécie délicatement la démarche. Je glisse ma fente vers son phallus ragaillardi et le coule en moi, elle n’est pas trop raide, souple au plaisir. Je m’active doucement, tout d’abord pas trop loin juste sur les bords du vagin. Je le regarde, il me comprend, toujours pas un mot. Ici n’est pas besoin de vocabulaire, ni de mots, ni de lettres, pour se comprendre, il faut appréhender l’autre. Je glisse mon corps entier, me cambrant pour mieux sentir son membre. 
Longuement, je me balance ainsi sans trop d’amplitude, lui m’accompagne pour amplifier un peu la pénétration. Il ne cherche pas pour autant à passer au baisage vulgaire et bestial. Les allers-retours sont un peu plus amples, mais toujours sur un rythme assez lent, histoire de ne pas trop faire remonter trop vite la pression. Je m’assois sur lui toujours prise sur son sexe, il me caresse les seins, le téton est de nouveau agressif, il s’amuse à le titiller, le suce avec plus de douceur qu’un chérubin. 

Je continue mon petit manège, doucement et avec un peu plus d’envergure. Des vapeurs de nouveau angoissent le destin, mon regard s’évade vers des non-certitudes, vers un exquis moment personnel, il faut que je ralentisse le mouvement pour revenir vers lui, je ne le sens pas s’évanouir vers l’éjaculation, non, il est bien, je lui polis le mignon et il reste coi, dans un bien-être suave. Je me retire à peine et glisse mon rectum sur le pilou, il y reste suffisamment de lubrifiant. Je n’aime pas les grosses bites pour une sodomie, la sienne est bien, un peu plus de trois centimètres, c’est suffisant pour un plaisir anal, je guide toujours la démarche, j’enfonce légèrement son membre sur les lèvres sans qu’il soit avalé par le repli du gland et très doucement, je balance légèrement mon bassin pour provoquer de petits déplacements, cela me fait du bien, beaucoup de bien. 

Je lui glisse un baiser furtif, un merci en sorte. J’aime bien dominer ce plaisir pour aussi guider mon ressenti, ce n’est pas égoïste non, je guide mon sexe où il veut, quand il veut, à la cadence qu’il veut, au moins je maîtrise mes émotions et les siennes aussi, cela le dérange peut-être. 
Plus tard, je lui laisserai mener la cadence. Je ferme les yeux pour mieux me concentrer sur le ressenti, c’est planant, c’est l’extase sans plus, bien mieux que de l’ecstasy, non pas besoin d’excipient. Je me laisserais aller à ce manège des minutes durant, mais c’est un peu ego, il faut aussi qu’il y trouve du plaisir, là, il risque l’inflammation. 
Alors, je resserre les muscles de l’anus pour refouler la verge bien collante de lubrifiant, non pas de préservatif, pas de frein à la sensibilité des peaux. Puis, je le laisse un peu plus mener la cadence pour que lui aussi, sente monter la pression. Je replonge sur son pubis et j’entreprends de nouveau une toilette du petit jésus, après l’avoir bien essuyé avec une lingette, il avait encore un peu le goût du lubrifiant heureusement qu’il était à la fraise, sa taille modérée fait qu’il était bien agréable à réconforter. 
Lui aussi retrouve mon entrecuisse, il titille l’entrée de mon vagin avec une langue bien adroite et pointue, pénétrant un petit peu l’endroit avec délicatesse. Puis celle-ci glisse sur les lèvres anales qu’il avait essuyées aussi pour les lécher avec beaucoup de délicatesse. Elle tente de pénétrer l’anus, je laisse l’endroit se détendre pour que la langue glisse un peu plus loin, elle est bien agile. 
Il reste dessus longuement, c’est un plaisir intense, je me laisse aller d’autant que les doigts d’une de ses mains glissent sous son cou pour titiller mon haricot, il l’effleure plutôt qu’il le caresse, j’ai tendance à suivre sa langue, je me laisse trop au plaisir, je sens des bouffées doucettement m’envahir. 
Il ne faut point que je me laisse trop aller au ressenti, au risque de sombrer dans une jouissance qui, quelque part, fait fondre l’envie de donner du plaisir à l’autre avec attention. Il s'occupe lors de caresses clitoridiennes aussi avec une certaine dextérité, promenant ses doigts entre les lèvres avec une tendresse et une finesse appropriée. 

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Cendrine vous dévoilera la fin de son livre dans 3 jours :-)

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Crédit photo X-art

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