Explorations

Explorations

Publiée le 19 avril 2016  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Lisa. Si belle et si réservée, sa chevelure débordante dans laquelle avaient dû se débattre des centaines d'amoureux transis, d'honnêtes amis de la famille et de passants inconnus, tous pris dans le trémail de ses boucles d’automne, soufflés sur son passage, vrillés dans leurs certitudes, victimes d'une épidémie foudroyante qui les faisaient se retourner pour tenter d’apercevoir furtivement la malédiction qui venait de les frapper. Lui-même se souvenait avoir éprouvé douloureusement les convulsions du tissu de sa petite jupe rouge que la danse lascive de ses fesses gonflait telle une voile. Ces fesses rebondissantes qui contrastaient si admirablement avec la timidité de sa poitrine et la douceur de son visage. Comme si deux femmes habitaient ce corps et s’en disputaient la primeur. L’une, plus sage et plus douce que n’importe laquelle de ses étudiantes; l’autre, sirène de perdition capable d’aspirer un homme dans son propre désir d’un simple mouvement de hanche. Il se rappelait chacune des fois qu’il l’avait invité à monter sur la petite estrade de cette salle de classe décrépie, pour des résolutions d'exercices qui s'avéraient toujours exactes. Malheureusement Lisa n'avait plus jamais remis sa petite jupe rouge et ceux qui eurent des réflexions trop bruyantes ou avaient eu le regard trop insistant ne se le pardonnaient pas. Adolescent, il avait été entièrement et pathétiquement amoureux d’une fille qui lui ressemblait. Cette vieille cicatrise suintait d’un épais jus de regrets en sa présence et les désillusions de ses échecs passés avec leur cortège de désirs non assouvis remontaient douloureusement à la surface tels des corps morts. Comment se comportait-elle dans l’amour ? Était-elle au courant du petit manège qu’il avait mis en place avec les autres étudiantes ? Il doutait que la moindre idée malsaine puisse infuser une eau aussi froide. 

Il avait abandonné bilans et projets sérieux. Tout juste parvenait-il à s’évader de sa routine en relisant encore et encore le journal de bord de Lapérouse. Il admirait ce capitaine qui n’aspirait qu’à voguer sur l’écume encore bavante de l'illustre Cook, poussé par le souffle d'exploration et par l’ambition aussi démesurée que de parachever la connaissance du monde. Plus ou moins consciemment, il réduisait l’immensité qui séparait son misérable quotidien de celui du célèbre explorateur disparu en mer en le citant dès que possible devant ses étudiants et étudiantes. Sur la masse d’indifférents, peut-être l’un d’entre eux retiendrait son nom et son œuvre. Jusqu’à présent, il n’avait gagné qu'un surnom et les esprits les plus fins demandaient en son absence « A-t-on des nouvelles de Lapérouse ? ». Sa deuxième source de distraction consistait à accueillir de plus en plus régulièrement des étudiantes qui venaient rehausser leur note ou simplement satisfaire leur curiosité en couchant avec lui. Le bouche à oreille avait fonctionné bien au delà de ce qu'il avait pu imaginer. Il expérimentait avec ces visiteuses un nouveau jeu basé sur le choix de thèmes comme “romantique”, “drôle”, “intense”, “exotique”, inscrits sur des petites cartes, dans l’espoir d’encourager leur imagination. Ce stratagème ne compensait pas pour autant la lassitude qui désormais ne le quittait plus. Quelle ne fut pas sa surprise lorsque que Lisa se présenta à sa porte ce jour-là, avec cette gêne délicieuse, chaque parcelle de son corps trahissant son envie de fuir. Sans un mot, ils avaient baisé doucement, tranquillement, mais sans complicité. Elle lui avait semblé pressée de passer à autre chose et lui avait été déçu d'avoir brûlé ce fantasme à feu doux.

La traversée de l'Atlantique n'avait causé aucun dégât majeur et les navires de Lapérouse s’élançaient sur le Pacifique confiants et conquérants, dans le respect des instructions royales de Louis XVI. Pourtant le capitaine ne se réjouissait pas de cette facilité apparente, se doutant que leur périple réserverait bien des épreuves, de celles qui font taire les chants et les plaisanteries des équipages.

Un jour Lisa revint. Elle se tenait là avec sa petit robe rouge et des chaussures à talons, association merveilleuse, et semblait hésiter devant les cartes posées devant elle. Elle était belle à s'en agenouiller, désirable à s’en poignarder le coeur. Après quelques hésitations, elle plongeât ses yeux dans les siens avec ce regard insondable, reflet de malice retenue et d'orgueil, déchirant la brume dans laquelle il dérivait. Il la soupçonnait de faire cela pour s’assurer que son interlocuteur garde le fil de la conversation, ce qui produisait l'effet inverse et la rendait mi-provocante, mi-coupable, absolument incandescente. Lorsqu'il pensa enfin à regarder la carte qu'elle lui tendait, il lu "soumission". Puis elle lui présenta sa deuxième main qui tenait une autre carte que lui-même avait oublié : « humiliation ». Après un moment de flottement, il détacha son regard de ce visage qui lui souriait timidement, se dirigea vers la table basse sur laquelle était posée une bouteille de vin entamée entre « La malédiction Lapérouse" et un verre vide. Sans rien dire, il se servit un verre et le bu. 

Après plusieurs mauvaises expériences, le capitaine jura ne plus prendre aucun risque avec les autochtones qui éprouvaient son humanisme de par leurs réactions imprévisibles et parfois belliqueuses. Loin des scènes d’intense fraternisation, ces rencontres étaient sources de tension mais aussi de découragement pour le capitaine et ses hommes. Eux apportaient le savoir des Lumières et ces sauvages les remerciaient en chapardant tissus, casques, pipes, chausses, malgré la verroterie offerte généreusement. Il était impossible de prévoir leur source de convoitise. Si, par exemple, il avait su la valeur incomparable d'une étoffe rouge pour certains habitants de ces îles, le capitaine en aurait volontiers remplit la totalité de ses cales. 

Il lui proposa de sortir faire un tour. Non pas que son quartier soit intéressant, mais il avait besoin de gagner du temps. Ils marchèrent le long de rues sans intérêt, échangeant des banalités dans les odeurs de cuisines exotiques et d'ordures. Les talons de Lisa résonnaient sur le trottoir, tocsin qui faisait se retourner les hommes qu’ils croisaient, après que ceux-ci les aient copieusement dévisagé. Ils semblaient demander ce qu'un type comme lui faisait avec une fille comme elle. D'ailleurs des filles comme elle on n’en voyait pas souvent par ici. Les regards se faisaient encore plus insistants aux terrasses des cafés dont les clients étaient soudainement projetés aux premières loges d’un spectacle trop captivant pour prétendre l’ignorer. Elle devait être terriblement gênée mais n’en laissait rien paraître et meublait la conversation, l'abandonnant dans son malaise. Il lui fallait quitter la rue.

Ils entrèrent dans un des nombreux et sinistres cafés PMU de l'avenue. La clientèle composée exclusivement d'hommes se tue à leur entrée, comme s’ils pénétraient une forêt tropical. Ils s'installèrent sur les tabourets hauts devant le comptoir. L'inconfort de ce type de chaise faisait que Lisa était obligée de se cambrer pour se tenir droite. Ses fesses débordant légèrement tiraient sur sa robe, moulant sa chaire, sculptant ses courbes et laissant deviner des jarretelles. Cela suffit à faire voler en éclats le solide équilibre de ce café d’habitués. Les parties de jeu se délitaient, les cafés rejoignaient bruyamment leurs coupelles, sur l’écran de télévision fixé au mur des chevaux désorientés aux naseaux nerveux abandonnaient le champ de courses et les tickets de Rapido prenaient des airs d’équations au quatrième degré. Certains faisaient bonnes figures et échangeaient encore quelques mots que personne n’écoutait, tandis que d'autres louchaient sans complexe sur le cul de Lisa. Tout se déroulait sans le moindre égard pour lui. Lisa parvenait à garder ce sourire discret, indifférente à ce qui se tramait autour d’eux. Son visage était si fascinant. Sa peau avait gardé cette douceur qui fait la perfection et la délicatesse des peaux de bébés. Il était impossible de ne pas imaginer que ce n’était que le petit échantillon d’un corps offrant la plus désirable des textures. Sa bouche évoquait un pavillon de vieux gramophone, sans pour autant éclipser le reste de son visage. Peut-être parce qu’elle avait la distinction de ne pas en jouer pour séduire. Elle dégagea sa chevelure d’un mouvement de tête, marquant un peu plus la ligne courbe de son dos. Sa taille fine soulignée par la ceinture de sa petite robe faisait naître une  irrépressible envie d’y poser les mains, machinalement, comme on rattraperait par réflexe un objet qui tombe. Sa taille prenait ensuite le large et développait toute une argumentation de hanches dont le point d’orgue se trouvait dans ces magnifiques fesses en apesanteur. Le café bruissait, brûlaient un air devenu irrespirable. Le silence lui-même menaçait de prendre feu. Lui suffoquait et n’avait plus qu’une idée en tête : se trouver le plus loin possible de cet endroit. Trouvant un prétexte quelconque, il paya et ils sortirent avant même qu'elle ait le temps de finir son jus de tomate. Il lui proposa de rentrer, ce qu'elle accepta d’un sourire. 

Après le dramatique accident du port des Français qui lui avait fait perdre vingt et un compagnons, voici que le Lapérouse devait à nouveau faire le deuil de braves à Maouna. Les autochtones avaient taillé en pièce sur le rivage les hommes partis à la recherche d’eau. Et maintenant le doute le rongeait plus sûrement que le scorbut. Comment ses hommes armés de fusils ont-ils pu se faire lyncher si ce n’est pour rester pacifiques à tout prix ? Il se reprochait ce prix exorbitant de l’humanité. Mais le capitaine ne laissa rien paraître de ses états d’âme pour ne pas transmettre sa peur aux équipages et donna ses instructions pour faire route vers l’ouest. 

Au croisement d'une rue, un type lança dans leur direction « Ce que je lui mettrait à elle !" tout en se retournant pour détailler Lisa du haut en bas. Elle fit mine de ne pas entendre tandis que lui se retournait pour signifier sa présence. L'autre se rapprocha "je dis que ta pouffiasse est trop bonne que j’aimerais me la faire. Tu vas faire quoi ? » À ces mots, Lisa crut bon d'intervenir « Fous-nous la paix ! »  Il se tourna alors vers elle, approchant son visage au plus près, avec un sourire de jubilation. Elle recula maladroitement. Leur altercation avait attiré l'attention de badauds qui semblaient hésiter entre la bienséance et le désir inavouable de mettre leurs pensées tout aussi inavouables dans la bouche de ce connard. Elle le tira par la manche pour l'entraîner loin de la scène. Elle regrettait amèrement devoir tourner le dos à l'assistance tandis que ses fesses dansaient sous sa jupe, mouvement amplifié par ses talons hauts et ses pas précipités. Et en effet, tous détaillaient son cul avidement.

Voilà bien longtemps qu’aucun chant ni aucun rire ne résonnaient plus sur les ponts de la Boussole et de l’Astrolabe. Les hommes étaient fatigués, les navires éprouvés, les privations avaient marquées les visages et le moral. La dernière passe avait demandé près de trois jours de labeurs à tirer des bords interminables avant de découvrir que le passage espéré n’existait pas. Après une brève exploration de quelques rivages sauvages et de leurs peuples de pécheurs, le capitaine voulait désormais hâter ses navires vers le Kamtchatka et faire relâche et prendre connaissance des nouvelles instructions royales.

De retour chez lui, ils restèrent silencieux. Le souvenir de l’altercation planait comme un vautour projetant sur eux une ombre mouvante. Lisa imaginait sa détresse. Elle se servit un verre, le fixa de ses yeux de venin vert, le bu en entier avant de lui annoncer "on continue".

Après s’être longuement absenté pour les préparatifs, il revint près d’elle et lui banda les yeux. Elle se tenait debout devant lui, attendant ses directives. Elle le devina s'asseoir derrière elle, sentit ses mains glisser le long de ses bas jusqu’aux fesses. Elle l’imaginait découvrir avec délice son porte-jarretelles blanc ajusté très haut sur les hanches qui sublimait l’offrande magnifique de son cul. Les dentelles s’enfonçaient très légèrement dans la chaire, marquant sa peau si pâle. Elle sentit sa langue venir sur sa peau, l’embrasser partout. Elle s’émut de sa fébrilité, de ses gestes maladroits, comme ceux d’un enfant déballant son cadeau. Il passa devant elle et lui appuya doucement sur les épaules pour l'agenouiller. Il lui approcha la tête pour qu’elle le suce ce qu’elle fit d’abords avec de petits coups de langues précieux. Gardant une poignée de ses cheveux en main, il s’assit alors dans le canapé, la faisant venir à lui à quatre pattes. Elle minaudait en balançant doucement son cul, prenant des poses de jeune fille effarouchée, avant de se cambrer outrageusement le temps d’un souffle. Il ramena sa jambe à sa hauteur, lui présentant son gros orteil à sucer. Puis il la rapprocha, tenant toujours sa chevelure d’une main ferme pour qu’elle lui lèche les couilles, puis lui enfonça son sexe profondément dans la bouche. Alors qu’elle reprenait son souffle, il bascula un peu plus en arrière et exerça suffisamment de pression pour qu'elle descende encore. Elle résista, trouvant la pratique assez répugnante, voir horriblement avilissante, mais laissa finalement venir sa langue sur son anus. Elle se rappela les deux cartes qu'elle-même avait choisit. Elle le léchait tandis qu'il lui caressait doucement les cheveux. Alors qu’elle s'attendait à ce qu'il gémisse, qu’il l’encourage ou qu'il lui dise des mots sales, il demeurait silencieux. La frustration qu’elle en éprouvait nourrissait son excitation. Passée la gêne, elle prenait l'initiative dans l'espoir de faire flancher. Elle faisait maintenant des aller-retours entre ses couilles et son anus tout en le branlant doucement. Elle l'imaginait les yeux rivés sur son cul. Ce cul qu’elle savait si convoité, comme c’était encore le cas il y a peu dans la rue. Elle aimait l’idée de pouvoir le lui faire perdre la tête au contact de son corps. Elle le voulait fou de désir, les yeux brûlés par cette ligne d’horizon de chaire à la brisure magnifique. Qu’il s’imagine la prendre comme on s’élance dans le vide, comme le dernier homme embrasserait la courbure de la terre. Plongée dans son obscurité silencieuse, Lisa ne pouvait se rendre compte qu’elle ne faisait pas l’amour avec celui qu’elle croyait.

Il la redressa pour l'asseoir sur lui, enserrant d’une main ses poignets délicats dans son dos. Elle ondulait tandis qu’il lui attrapait la gorge, lui pinçait les seins entre deux tétées avides. Lisa découvrait une excitation totalement nouvelle. La transgression lui apportait bien plus que ce qu'elle était venue chercher. Elle était même prête à croire qu'il pouvait y avoir quelque chose de bon dans le sexe, au delà de l'obligation de faire comme les autres et de s'efforcer d'être ni prude, ni pute. Elle avait confiance en cet amant mûr et expérimenté qui contrastait tant avec les garçons de son âge dont pas un seul n'avait été à la hauteur. Tout en maintenant sa main sur sa gorge, il la souleva légèrement et la fit asseoir de dos. Elle s’enfonça à nouveau sur son sexe, se cambra et reprit son mouvement, profitant de cette position pour lui caresser doucement les couilles. Elle sentit ses mains lui attraper le cul, ses doigts se planter dans sa chaire, l’attirant à lui pour amplifier son vas et vient. Ses gestes comme ceux d’un mendiant désespéré. Sa bouche assoiffée parcourait sa peau comme autant de sources d'eau fraîche au cœur du mois le plus chaud du désert le plus aride. Il semblait se réjouir inlassablement des mouvements de rebond de la chaire de ses fesses réagissant à de mystérieuses lois physiques et ses les claques résonnaient de plus en plus fort. 

Assis en face de Lisa et de cet amant éphémère, il observait ces chaires nues qui suscitaient le même désir depuis tant de millions d’années avec si peu d’artifices. Magie et malédiction réunies se dit-il. Mais il ne parvenait pas à profiter pleinement de la scène. Pourquoi avait-elle choisi ces cartes ? Il se maudissait de ne pas avoir pensé à utiliser sa caméra, s’efforçant d’enregistrer un maximum de détails pour ses futures solitudes. Au même moment, l’autre homme souleva Lisa, interrompant la charge qui écumait déjà du fond de ses entrailles.

Le capitaine n’avait pas senti venir le coup de grain. Leur situation était d’autant plus périlleuse que la nuit tombait et qu’ils ne pourraient apercevoir les éventuels récifs ou hauts-fonds qui ne figuraient pas sur les cartes de ces mers inconnues. Déjà les vents soufflaient cet air lourd et brûlant, cavalerie divine lancée sur eux dans un grondement continu. Les vagues étaient d’une telle puissance qu’elles lui semblaient les projeter d’un bout à l’autre de l’océan. Le ciel s’assombrit brusquement, bientôt déchiré d’éclairs rageurs. Plongés dans l’obscurité, les deux navires se trouvaient maintenant hors de portée de signaux. C’était chacun pour soi. 

Il l’emmena dans une autre pièce qu'elle devina être la chambre. Il la plaça à quatre pattes sur le lit. Il la pénétra à nouveau, jouant avec la chaire de ses fesses, caressant son anus avec son pouce humide de salive. En percevant son souffle court, elle pouvait imaginer ses yeux prêts à sortir de leurs orbites, sa langue pendante et asséchée, son intellect de prof totalement dissout dans ses couilles. Instinctivement, elle tourna le visage vers lui, mais il ne l’embrassa pas. N'était-ce pas à cause de lui qu’elle s’était décidée à faire toutes ces expériences ? Ses cours n'étaient qu'exaltation de l'aventure et des découvertes de terres inconnues. Elle cartographiait son désir comme cet explorateur dont il parlait tout le temps. A cette pensée, elle esquissa un sourire, se promettant de lui en parler. Elle eu un sursaut au contact de la pommade froide sur son anus. Faisait-il ça avec toutes les filles qui venaient le voir ? Elle-même n'y tenait pas particulièrement, persuadée qu'elle n'en retirerait aucun plaisir, mais elle se laissa faire car c'était là l'occasion d’en avoir le cœur net. Après l’avoir massé, et pénétré avec son doigt, il s'efforça de faire rentrer son sexe. Elle fit des efforts pour se détendre. Quand il fut tout en elle, il lui prit les fesses à deux mains et accéléra le mouvement tout en la faisant se cambrer davantage. C'était effectivement douloureux mais elle voulait lui donner ce plaisir. Il était désormais un condamné pendu à sa dernière volonté.

Aucune des vigies n’aperçut les récifs qui affleuraient aux abords de cette île émergeant de nul part. A peine avaient-ils eu le temps d’hurler le danger que les coques se fracassaient contre la roche, explosant sous le choc et éparpillant matériaux et équipages. C’était donc ici, sur cette petite île de Vanikoro, dans le fracas de l’inconnu, dans l’obscurité mouvante de cette mer aux forces indomptables que leur périple s’achevait. Le capitaine avait-il seulement eu le temps de se demander si sa quête justifiait une fin si tragique ?  

Il se retira et la fit descendre du lit. Après l'avoir mise à nouveau à genoux devant lui, il approcha son sexe pour qu'elle le fasse venir. Elle le branla en lui maintenant le gland dans la bouche. Elle sentit ses puissants muscles se tendre, sa main se crisper sur son crâne. Au moment de jouir, il eut un râle à la sonorité étrange. Dans un mouvement de recul, elle retira son bandeau d'un geste sec, découvrant qu’elle était agenouillée devant le type qui l'avait insulté plus tôt dans la rue. Son prof se tenait sur une chaise à côté d’eux, la regardant d’un air triste deux cartes dans la main :  "soumission" et "humiliation".  

Cette photo est extraite d'une vidéo hot d'X-art

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