Sur la route de Madison (2ème partie)

Sur la route de Madison (2ème partie)

Publiée le 04 janvier 2013  

Retrouvez la première partie de l'histoire ici.

Vanessa et Madison étaient rentrées tard de l’aéroport et Madison était fatiguée de son long voyage. Les enfants étaient couchés, elle ferait leur connaissance le lendemain.

Alors que Vanessa aidait Madison à ranger sa valise, elle remarqua que la jeune fille portait un anneau à son annulaire gauche.

Tu es déjà fiancée, Madison, si jeune ? demanda Vanessa en fixant l’anneau.

— Non, c’est un anneau de pureté.

— Un anneau de pureté ?

— Oui, une bague de virginité. Je la porte comme signe de ma volonté de rester vierge jusqu’au mariage. Mon père me l’a remise lors d’un bal alors que j’avais quatorze ans, sourit la jeune fille, visiblement émue par ce doux souvenir.

Vanessa ne put s’empêcher de hausser les épaules, affligée par de telles sottises mais par respect pour Madison, elle se tut et l’invita à se coucher car le planning du lendemain serait chargé.

Madison eut du mal à s’endormir. A 22h à Paris, il n’était que 14h chez elle au Montana. Elle tournait et se retournait dans son lit et se leva finalement boire un verre d’eau à la cuisine.

Elle s’apprêtait à ouvrir la porte de la cuisine quand elle entendit des cris venir de la chambre de Simon et Vanessa.

Elle baissa pour regarder à travers le trou de la serrure et se figea dans un moment d’effroi.

Vanessa, vêtue uniquement de talons aiguille et d’un collier de chien était à quatre pattes sur le lit. Un homme – Madison reconnut Simon d’après la photo qu’elle avait reçue - se tenait derrière elle et tirait sur une laisse, obligeant Vanessa à s’arc bouter.

Madison se souvint qu’elle avait vu son étalon monter les juments de la sorte, mais enfin, c’étaient des animaux !

La délicate et charmante Vanessa n’était pas un animal tout de même.

Simon arborait un sourire carnassier qui ne cessait de s’élargir à mesure qu’il donnait des coups de rein de plus en plus forts contre la croupe de Vanessa.

Tu en veux encore ma chienne, hein ? rugit Simon

— Non, non arrête, je n’en peux plus, gémit Vanessa.

Affolée, Madison tourna la poignée de la chambre et déboula en pleurant : « Mais enfin, arrêtez, vous voyez bien que vous lui faites du mal ! ».

Simon qui n’avait jamais vu Madison était interloqué. Vanessa, surprise, adressa un sourire à Madison : « C’est un jeu Madison, rien qu’un jeu. Ne crains rien, j’adore ça ».

Madison était déboussolée et ne comprenait visiblement rien à ce qui venait de se passer.

— Ecoute Madison, je respecte ton vœu de rester vierge jusqu’au mariage, mais je crois qu’il est grand temps que tu apprennes deux ou trois choses sur la vie.  Regarde et crois-moi, c’est un service que je vous rends, à toi et ton futur époux.

Mets-toi à l’aise Madison, ordonna doucement Vanessa en dénouant le nœud du petit haut que portait Madison.

Vanessa fut submergée par une vague d’une chaleur torride lorsqu’elle libéra deux magnifiques seins tendus qui semblaient réclamer ses caresses. Madison avait la peau laiteuse, de lourds seins en forme de pomme pour lesquels la magie de la jeunesse avait rendu superflu, voire encombrant, le port du soutien-gorge.

Au bout de ses globes triomphants, Madison arborait de petits boutons de rose entourés d’une armée de petits picots destinés à protéger leur fabuleux trésor.

Vanessa fut traversée par une onde d’un violent désir et elle attrapa à pleines mains la poitrine de Madison dans l’espoir de faire sienne cette poitrine si parfaite.

Elle fit courir sa langue sur ses mamelons, passant avidement de l’un à l’autre comme s’il elle craignait que l’un ne fût jaloux de l’autre.

Alors qu’elle aspirait un mamelon dans sa bouche, elle fit glisser sa main le long du ventre plat de Madison, puis dans sa petite culotte à la recherche d’une petite fente accueillante.

La main à plat contre son pubis, elle introduisit son majeur dans le vagin trempé de Madison.

— Ah, ah, cria Madison en jetant la tête en arrière. Mais qu’est-ce que c’est ?

— Tu jouis Madison, c’est très bien, murmura Vanessa .

Simon, n’en pouvant plus, se rapprocha des deux femmes pour goûter lui aussi à la jeune Madison.

Enfoncer son membre viril en elle, la dépuceler et la faire jouir, il se sentait investi d’une mission sacrée.

Alors qu’il s’apprêtait à se jeter sur Madison, Vanessa le repoussa violemment sur le lit.

— Non Simon, ordonna Vanessa. Cette jeune fille est arrivée vierge dans cette maison, et elle en repartira vierge. Elle a fait une promesse et nous avons des responsabilités vis-à-vis d’elle.

En revanche, je vais te soulager dit Vanessa en s’asseyant à califourchon sur son mari. Je vais te baiser et veux sentir que ça gicle en moi.

Madison était subjuguée par le spectacle auquel elle assistait. Elle voyait le sexe de Simon tendu comme un arc plonger dans le vagin de Vanessa et en ressortir dans un mouvement de va et vient qui décrocha à ses hôtes de longs cris de jouissance.

Madison, sans s’en rendre compte, introduisait elle aussi un doigt dans son vagin selon le même mouvement de va et vient et ne s’interrompait que pour prendre entre deux doigts son clitoris qu’elle sentait s’allonger et s’allonger encore. Des spasmes de plaisir l’envahirent et elle voulait, elle aussi goûter au sexe de Simon qui semblait être la clé de tant de jouissance.

Simon venait de jouir, mais la vue du corps nu de Madison l’appelant à éteindre l’incendie qui l’embrasait le fit bander aussitôt.

Vanessa intervint avant que Simon ne prenne Madison.

— Madison, Simon ne peut pas enfoncer sa bite en toi, tu ne serais plus vierge, en revanche, je vais t’apprendre à en profiter de manière innocente.

Suce-le, ordonna-t-elle en attrapant la nuque de la jeune fille et en rapprochant sa bouche du sexe de son époux.

Madison ouvrit grand la bouche et goba le membre viril de Simon.

Vanessa tira sur la queue de cheval de Madison afin qu’elle retire son étreinte.

— Non Madison, non, tu es trop gourmande. Une bite, ça se cajole, ça se caresse, ça se suçote, ça se léchouille, mais ça ne s’avale pas tout rond. Prends ton temps, apprivoise là, et surtout souviens toi : c’est toi qui a le pouvoir, tu peux le faire jouir quand tu le décides.

Madison, consciencieuse et appliquée, prit le sexe de Simon entre sa main droite, le serra fort et posa le bout de sa langue sur la petite fente qui se trouvait au bout du sexe de Simon.

Elle le lapa comme on lèche un esquimau et fit tourner sa langue autour du gland tout en branlant Simon.

Son application fut récompensée car elle sentit la respiration de Simon s’accélérer et vit qu’il perdait le contrôle de son corps.

Grâce à sa langue seulement, elle tenait à sa merci cet homme respecté, voire craint par tant d’autres.

Alors, elle décida de lui donner le coup de grâce en enfonçant sa bite plus profondément dans sa gorge.  Mais la jeune fille ne maîtrisait pas encore pleinement ce nouveau pouvoir et sans parvenir à différer la jouissance de Simon, elle sentit rapidement couler un liquide chaud au fond de sa gorge.

Elle l’avala en souriant et s’assit en attendant les instructions de ses hôtes. Ils la félicitèrent et les deux mois qui suivirent, les trois amants se livrèrent à nombre de jeux érotiques sans que jamais Madison ne soit déflorée.

Madison retourna dans son pays plus sûre d’elle et fière de ses nouvelles connaissances, mais l’histoire ne dit pas si elle tint jusqu’au mariage pour goûter au plaisir suprême.

 

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Par Irina Du Bois Sainte Marie

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