Quatuor surréaliste par temps pluvieux

Quatuor surréaliste par temps pluvieux

Publiée le 31 août 2014  

L'Ardèche est l'endroit parfait pour se ressourcer pendant quelques jours de vacances. On profite d'une nature luxuriante, apaisante, on se laisse enivrer par les odeurs émanant des champs de lavande, bercer par le chant des cigales à l'heure de la sieste, quand on n'est pas littéralement assommé par les chaleurs étouffantes de l'été.

 Cette année, avec ma femme, nous avons décidé de prendre un petit chalet dans un camping bien tranquille, où calme et repos sont les maîtres mots. Bien mal nous a pris. Point de soleil cette saison, que de la pluie. Et quand il pleut en Ardèche, ça n'est pas rien. Au moins, nous étions au sec sous notre chalet, et cela nous a évité de croupir sous une tente moisie, à se morfondre de froid.

Nous passions alors nos après-midis à lire, écouter de la musique, et à faire l'amour. Impossible de mettre un pied dehors, alors nous en profitions pour retrouver le rythme effréné de nos ébats que nous avons adopté lorsque nous étions tous deux étudiants. Habituellement, il faut dire qu'avec son travail en poste, et le mien en journée, nous ne faisions que se croiser. Les vacances sont alors le moment propice pour notre couple de retrouver cette complicité au lit que le quotidien s'acharne à émousser. 

Alors que nous venions de terminer une petite sieste crapuleuse, ma femme décida d'aller prendre une douche pour se rafraîchir, et moi j'en profitai pour m'en griller une sur la petite terrasse couverte qui bordait notre chalet. La pluie continuait de tomber inexorablement, et fouettait avec force arbres, voitures, chalets et tentes.  

A une trentaine de mètres de chez nous, se trouvait une petite tente à la mode qu'on déplie en dix secondes. Vu comment elle était secouée par le vent et la flotte, elle n'allait pas tenir le choc très longtemps. Tout à coup deux silhouettes sortirent précipitamment de la tente, paniquées. Apparemment la toile avait percé, une fuite était survenue et trempait tout l'intérieur de la tente. Les deux jeunes femmes essayaient de rassembler en vitesse leurs affaires pour les sauver de l'eau, mais elles n'avaient aucun endroit pour les mettre à l'abri du déluge. Sans hésiter un moment, je les interpellai pour qu'elles viennent se protéger sous la toiture. Elles prirent le plus d'affaires possibles, et accoururent se mettre au sec sur la terrasse. 

Plus elles approchaient, plus je me rendais compte que les deux jeunes femmes, d'une vingtaine d'années, étaient vraiment mignonnes. L'une était grande, élancée, la peau mate, et avait de longs cheveux noirs de jais noués en une tresse qui lui arrivait au milieu du dos. L'autre, était un peu plus petite, très fine, une chevelure rousse remontée en chignon, et la peau très claire. Camping oblige, elles étaient au naturel et étaient réellement charmantes. Un vrai délice pour les yeux si on rajoute le fait qu'elles étaient trempées de la tête aux pieds, et que leurs petits débardeurs moulaient outrageusement leurs généreuses poitrines. 

-        « Pfffffiouuu, merci beaucoup », me dit la plus grande des deux, « Le bar du camping est trop éloigné, on va pouvoir protéger un maximum d'affaires ici, si ça ne vous dérange pas bien sûr .

-        Non, non allez-y, il n'y a aucun souci. Laissez vos affaires ici, et entrez vous sécher et vous réchauffer ! » 

Je rentrai en premier dans le petit chalet, suivi des deux amies qui commençaient à trembler de froid. Nous étions dans le coin cuisine, quand on entendit ma femme sortir de la salle de bains nue... 

-        « Tu en as mis du temps chéri ! Tu es prêt pour remettre... Hiiiiiiiii !!!! » 

Surprise par ces invitées, elle piqua un fard énorme et prit la grande serviette qui se trouvait à portée de main pour se couvrir. Les filles, elles, n'avaient pas l'air d'être gênées, bien au contraire...

 -        « Tu aurais pu me prévenir ! », me lâcha-t-elle gênée.

-        « Désolé ma puce, ces demoiselles sont pétries de froid, leur tente est inondée à cause de l'orage, je n'allais pas les laisser à l'extérieur ! Tiens, donne-leur des serviettes sèches, et vois si tu peux leur prêter des habits pendant quelques heures, le temps que les leurs soient secs.

-        Excusez-moi, j'ai été surprise !, dit-elle en s'adressant aux jeunes femmes, suivez-moi dans la chambre..euh...

-        Sam et Olivia », précisa la brune à la longue tresse avec un large sourire.

Et elles entrèrent toutes les trois dans la petite chambre de notre chalet. Ma femme rouvrit la porte pour me passer les affaires trempées, que je devais amener à la buanderie du camping avec d'autres fringues nous appartenant pour les laver. J'en profitais pour boire un café au bar, et fumer une cigarette avec le propriétaire tout en pestant contre le temps pourri qui lui gâchait son début de saison, et moi mes vacances.  Au bout d'une demi-heure, je retournais au chalet sous mon petit parapluie made in china, qui ne résistait pas vraiment aux assauts diluviens du ciel ardéchois. 

J'entrais dans le chalet, et n'entendis aucun bruit. La porte de la chambre était toujours fermée. Je m'y approchais pour essayer de déceler un son quelconque, et à ma grande stupeur, je perçus des petits gémissements de plaisir. « Elles sont en train de s'envoyer en l'air dans notre chalet » pensais-je tout bas. « Elles ne se font pas chier ! Putain, Claire va encore me passer un savon en me disant que j'invite n'importe qui chez nous. Elle est où d'ailleurs ? Peut-être qu'elle est partie à la buanderie ? » Je pris mon portable qui se trouvait sur la table, et sorti à l'extérieur pour l'appeler. Une sonnerie, deux, trois... 

-        « Allo Claire ? »

-        Euh Claire ne peut pas te répondre, elle est occupée là. C'est qui ? … Allo ? Allo !? » 

Je coupais net stupéfiait. C'était la voix de la brune, Sam. Je rentrai à nouveau dans le chalet et regardait la porte sans trop quoi penser. Merde, ma femme, était là-dedans avec les deux jeunes filles en train de baiser ! Les gémissements se faisaient plus forts de l'autre côté de la fine paroi qui séparait la chambre de la cuisine. Nom de Dieu, c'était insensé ! Et moi, qui me trouvais comme un con, ne sachant que faire ! Il ne me restait plus qu'à vérifier ce qu'il se passait, que pouvais-je faire d'autre ? Ma main tenait déjà la poignée de la porte, et j'actionnais délicatement le mécanisme pour l'entrouvrir. La vision qui s'offrait alors à moi me coupa littéralement le souffle. « Après ça je pourrai mourir tranquille » me suis-je dit instinctivement. 

Claire, ma femme, était allongée dans le lit, tandis que la brune, était penchée entre ses jambes écartées, en train de lui embrasser l'intérieur des cuisses, quand sa langue ne s'attardait pas sur son sexe. Elle était outrageusement cambrée, sa tresse gisant au milieu de son dos, ce qui laissait son joli cul bien rond sans défense. Olivia, la petite rousse, qui était étendue à côté de ma femme, était elle occupée à lui embrasser les seins : ses lèvres glissaient délicatement sur sa peau, sa langue toute humide sortait parfois de sa petite bouche pour titiller un téton, puis comme une vorace, elle s'emparait totalement du sein avec sa bouche pour le sucer, ce qui semblait combler de plaisir Claire qui s'en mordait les lèvres. 

Sentant une présence étrangère dans la chambre, Olivia délaissa quelques instants les seins de ma femme, se releva un peu, et se tourna vers moi avec un regard et un sourire à vous faire fondre sur place. « On a de la compagnie !», lança-t-elle joyeusement à ses camarades de jeu. 

Toutes trois me dévisagèrent alors avec un air de complaisance lubrique. Certes j'étais un peu mal à l'aise, mais un seul regard de ma femme (dans lequel j'apercevais une étrange lueur !), me fit comprendre que moi aussi je pouvais m'abandonner aux délices de cette situation merveilleuse et ô combien surréaliste ! Ne sachant par quoi commencer, ma femme me débarrassa de tout embarrassement en demandant à Sam, la brune pétillante, de « s'occuper de moi », tandis qu'elle s'en retournait dans les bras doux et laiteux d'Olivia. 

Me trouvant au pied du lit, Sam vint à moi, et se mit à genoux sur le matelas pour arriver à ma hauteur. Elle me rassura d'un sourire léger et délicat, et enleva mon tee-shirt. Ayant un physique plus proche du bûcheron canadien un peu grassouillet que du dieu grec, j'étais un peu gêné qu'une autre femme que la mienne puisse voir mon corps. Ça n'avait pas l'air de la déranger en tout cas, vu comment elle s'empressa à m'embrasser le torse. Elle remonta rapidement vers mon cou, puis je sentis sa main, légère, empoigner délicatement ma nuque, pour diriger ma bouche vers la sienne. Sa poitrine majestueuse, lourde, s'appuyait contre mon corps. C'était un ravissement qui ne fit qu'accroître les battements de mon cœur qui s'était déjà emballé depuis fort longtemps. Mes mains glissaient dans son dos légèrement musclé, et je la pressai de plus en plus fort contre moi. Elle dût sentir l'urgence de soulager mon érection, puisqu'elle délaissa rapidement ma bouche, pour descendre vers mon bas ventre, et enlever le dernier rempart vers mon sexe endolori de désir. 

Tandis que j'observais ma femme et Olivia, jambes entremêlées, se caresser mutuellement, je sentis les baisers de Sam taquiner mon bas-ventre. Je priais Dieu qu'elle mette fin à mes souffrances en engloutissant mon sexe rapidement. Mais elle était joueuse : toujours à genoux, une main empoignant mes fesses, l'autre tenant mon sexe, elle souleva celui-ci pour plonger sa langue dans mes testicules. Puis – et là je crus réellement que j'allais défaillir – sa bouche, remonta lentement la base de mon sexe jusqu'au gland qu'elle absorba entièrement, avant de le laisser ressortir et de laisser le bout de sa langue jouer avec mon frein. 

Un frisson parcouru l'ensemble de ma chair, je pris une grande inspiration pour diffuser à l'ensemble de mon corps cette onde de plaisir. Ma main caressa instinctivement ses cheveux, et je l'invitais à prendre tout mon sexe en bouche. Elle rechigna gentiment, en m'adressant un petit « non » de la tête plein de malice, et commença à me mordiller le bout du gland. La pression de ses dents était exquise et je ne pouvais que m'abandonner aux douceurs qu'elle m'octroyait. Sans crier gare, elle avala entièrement mon sexe, et ne libéra entièrement ma verge qu'au prix d'une longue descente de ses lèvres le long de mon membre. Elle recommença cette opération deux, trois fois, tout en plongeant son regard dans le mien. 

Seuls les gémissements sourds de ma femme me tiraient de l'emprise de ma Méduse hâlée qui était sur le point de me pétrifier. Sur le dos, les cheveux en bataille, elle se pâmait sous les caresses d'Olivia, qui avait commencé à la doigter avec ferveur, et avait décidé de reprendre l'exploration de ses seins avec sa bouche. Nos regards se croisèrent, brûlants. Nous mourrions de désir l'un pour l'autre. Je n'avais qu'une seule envie, c'était d'embrasser cette bouche qui se tordait de plaisir, mais ce n'est pas moi qui décidais de la suite des ébats. 

Sam s'arrêta net de me sucer, se releva vers moi, me déposa un léger baiser salé sur le bord des lèvres et me susurra à l'oreille « A toi maintenant de me lécher ». Elle se retourna, et se pencha délicatement en avant, en m'offrant son cul sans défense. La première idée qui me vint à l'esprit était de lui attraper la tresse, et de la prendre en levrette, de faire claquer mon bassin contre ses fesses rebondies. C'est que je bouillais intérieurement, et cette situation inédite me rendait totalement fou. Néanmoins, je me pliais au désir de ma partenaire, et je lui écartais les fesses pour y coller ma bouche. J'étais bien décidé de lui rendre le plaisir qu'elle m'avait procuré, si ce n'est plus encore. Je voulais la rendre folle, comme elle a pu me rendre dingue avec ses caresses buccales. Je pris un coussin, me mis à genoux dessus, et j'entrepris de lui lécher les lèvres, de titiller l'entrée de son vagin avec ma langue, et de lui fourrer entièrement autant que possible. Je l'entendais déjà haleter, ce qui m'encouragea à approfondir mon exploration : j'aspirais son clitoris qui grossissait sous mes lèvres (quel délice !) tout en introduisant un doigt dans sa fente ; puis, je redescendais vers son sexe, m’attardais sur le périnée, pour terminer par lui chatouiller l'anus du bout de langue. Je continuais de la doigter vigoureusement, tout en alternant l'objet de mon attention. Je ne laissais aucun répit à son clitoris, ses lèvres, sa fente, son périnée, son anus, qui étaient recouverts d'un mélange de ma salive et de sa mouille. N'en pouvant plus, elle éclata dans un orgasme qui fit secouer tout son corps. Elle cria tellement fort, que ma femme et Olivia relevèrent la tête un instant, surprise de la puissance de la jouissance.
Elles se séparent un instant, pour accueillir la jeune femme épuisée entre elles, et la couvrir de caresses et de baisers. « Ne reste pas debout, viens toi aussi » me dit Claire, qui me reçut avec un baiser langoureux. J'étais là, allongé entre trois femmes magnifiques, brûlantes, émanant une odeur aphrodisiaque qui allait me faire perdre la tête. Je sentais la respiration lourde de Sam à côté de moi, tandis que ma femme cajolait doucement mon sexe au bord de l'implosion. « Repose-toi un peu, on ne fait que commencer », me dit-elle à l'oreille. J'inspirais et expirais profondément, et tentais de mettre mes idées en ordre. « Si c'est un rêve, j'espère ne jamais me réveiller » pensais-je, tandis que Sam et Olivia commencèrent à sortir de leur torpeur, et se penchèrent conjointement sur mon sexe pour l'embrasser. 

Cette nouvelle est l'oeuvre d'Henry Nin qui nous avait déjà régalés avec Jeanne. Si vous souhaitez une suite, dites le nous dans les commentaires.

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