Les 5 histoires les plus lues sur Nouvelles Erotiques

Les 5 histoires les plus lues sur Nouvelles Erotiques

Publiée le 08 août 2013  

1. Première infidélité

Perchée sur un tabouret, accoudée au bar, Karine examinait la salle avec attention. Habituée à être la proie des jeunes et beaux célibataires musclés et bronzés de Floride, elle avait décidé d’inverser les rôles le temps d’un court séjour en Martinique. Elle avait choisi ce club de vacances avec soin, un peu à l’écart des plages tropicales, et constatait le sourire aux lèvres qu’il répondait à ses critères. Elle était visiblement la seule célibataire parmi une clientèle de couples seuls ou accompagnés de jeunes enfants. Elle allait se mettre en chasse d’un « homme déjà pris » pour se prouver qu’elle gardait tous ses pouvoirs de séduction. Elle repéra rapidement sa cible : un bel homme blond qui devait avoir  une bonne trentaine d’années, un visage à croquer, un air énigmatique et surtout une étincelle flétrie dans son regard qu’elle interprétait comme un mélange de désir et de manque.

Philippe était assis contre sa compagne pour ce cocktail de bienvenue. Il se sentait sonné comme un boxeur mis K.O. dès le premier round. Il avait concocté en secret ce voyage dans les Caraïbes pour fêter leurs dix ans de vie commune. Au fond de lui, il espérait que le dépaysement et la beauté de l’île, l’ambiance détendue de cette résidence touristique, le romantisme de cette surprise allaient mettre Astrid dans de bonnes conditions. Elle pourrait enfin oublier l’intervention chirurgicale qu’elle avait subie il y a quelques mois maintenant, et qui lui avait ôté toute sensation sexuelle agréable. C’était en tout cas ce qu’elle disait. Les médecins invoquaient quant à eux un blocage psychologique puisqu’ils considéraient qu’aucune lésion ni anomalie anatomique n’était à déplorer. Quelques secondes auparavant, tous ses efforts avaient été anéantis par ce simple remerciement de sa femme.

— Oh merci mon chéri pour cette si bonne surprise ! Cinq jours dans cette île où il y a tant à voir, dans cette résidence où je n’ai pas encore réussi à dénombrer les piscines et autres jacuzzis. Au moins nous savons l’un comme l’autre que nous passerons un excellent séjour sans jamais nous ennuyer. Profitons de ce séjour et attendons notre retour pour nous réattaquer à nos petits problèmes intimes.

S’efforçant de garder un visage avenant et souriant, il avait le coeur gros et détourna le regard vers le bar pour éviter celui d’Astrid. Il eut l’impression fugitive que la superbe fille au bar l’observait, mais déjà elle détournait la tête.

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2. Fantasme ou réalité

Je n’avais pas beaucoup dormi cette nuit-là. J’avais remué de vieux souvenirs et d’anciennes mélancolies, j’avais ressassé des résolutions qu’il fallait que je prenne et je m’étais dit que je devais engager une femme d’ouvrage. Depuis que Céline m’a quitté, j’ai réappris à vivre seul, je goûte les femmes que je croise. Des roses, des jaunes, des noires, des briochées, des allumettes, parfum vanille, caramel ou fleur d’oranger. Mais je me lasse et m’exaspère vite. Je n’aime pas les plis qu’elles laissent dans mes draps en percale de coton après une nuit d’amour. Alors je tire rageusement sur les draps, tape sur les coussins, les jette au plafond pour qu’ils oublient nos étreintes.

Je ne veux pas de trace, je me contenterai de quelques souvenirs, je traque les cheveux égarés sur le parquet, les jette par la fenêtre que je laisse ouverte toute la journée pour faire s’évanouir l’odeur de ces femmes dans la tiédeur de l’été. Je me dis que je devrais engager une femme d’ouvrage. Et si elle était jolie, je la paierais le triple pour qu’elle fasse mon ménage en tenue sexy, sous mes yeux. Il paraît que cela existe.

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3. Canicule à Paris

Trente-cinq degrés. Un trois septembre à Paris, il est dix-huit heures et la vague de canicule qui a frappé la France tout l’été semble prendre ses quartiers d’automne.

Je grimpe deux à deux les marches des cinq étages de notre immeuble du Quartier Latin et ouvre, un peu à court de souffle, la porte de notre studio. Des perles de sueur suivent une rigole imaginaire le long de mes jambes.

En cette fin d’après-midi, la chaleur est encore étouffante, je me sens collante, mais excitée, car j’ai préparé une petite surprise pour Pierre, mon copain.

Je sors de l’institut de beauté où j’ai enfin osé demander une épilation du maillot en ticket de métro, oui comme les actrices X , et alors ?  Je me sens d’humeur joueuse et suis persuadée que Pierre y sera très sensible. Je n’ai laissé qu’une fine bande de poils bruns et le pubis ainsi dégagé de sa toison, donne à voir mes lèvres aussi rouges que des fraises juteuses.

L’esthéticienne m’a épilée à la cire chaude mais malgré son expérience et sa conversation enjouée, je ne suis pas parvenue à détourner mon attention de ma douleur. En particulier lorsqu’elle m’a épilée les grandes lèvres. Pour apaiser l’irritation elle posait le dos de sa main sur la partie épilée après avoir retiré la bande de cire d’un mouvement sec et assuré. J’étais troublée et aurais aimé que ces caresses se prolongent. Je suis persuadée que si elle avait glissé un doigt en moi, mon supplice aurait été un délice.

Elle dont c’est le métier de libérer les clitoris de leur jungle de poils, les remarque-elle s’allonger et se raidir sous ses gestes ? En prend-elle ombrage ou bien au contraire s’enorgueillit-elle de donner en toute innocence du plaisir à ses clientes ?

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4. Orgie, édition clandestine

Le 23 janvier, à 7 heures du soir, nous nous fîmes conduire, Anna et moi, rue des Brodeurs. Par-dessus mon déguisement, je portais un chaud manteau de fourrure; Anna me quitta dans le vestibule, où je remis ma carte d'entrée. 
Rési Luft elle-même la prit de mes mains. Il y avait déjà beaucoup de dames et de messieurs, et j'entendis les sons d'un orchestre. Les premiers messieurs que j'aperçus furent le gouverneur T... et le baron G..., sans masque et entièrement nus. Mon apparition dans la salle fit sensation; j'entendis des dames chuchoter, l'une å l`autre : « Elle va nous éclipser ! Ah! comme elle est belle! Un vrai sucre, on voudrait y mordre! » etc.

Les messieurs étaient plus ravis encore. Les parties les plus belles de mon corps, mes seins, mes bras et mollets, mon derrière et ma conque étaient nues, ou voilées d`un tissu transparent; on les voyait fort bien. Je jetai un coup d`œil à la ronde, pour découvrir Ferry parmi les hommes. 
Il se tenait aux côtés d'une dame vêtue d`un costume de tulle blanc : l`ornement, lis et roseaux, la désignait comme nymphe. 

Une autre dame, portant pour tout vêtement une ceinture d'or rehaussée de diamants et, dans sa chevelure noir de corbeau, un diadème de diamants, représentait Vénus; le bras au cou de Ferry, elle tenait en main son sceptre d'amour, qui se cabrait sous ses doigts; le gland, dénudé, brillait comme s'il eût été imbibé d’huile; il était d'un rouge sombre, et d'une taille inusitée.

Jamais encore je n'avais vu lance aussi longue et belle. Ferry était complètement nu, les pieds chaussés de sandales de maroquin rouge cerise. Ni l'Apollon du Belvédère ni Antinoüs n'étaient aussi bien proportionnés, aussi beaux que lui.

Son corps était d'une blancheur éblouissante, et comme ceint d'un reflet rose. A sa vue, je tremblai de tout le corps, je le dévorai des yeux et, sans le vouloir, m'arrêtai devant ce groupe. Vénus avait le corps beau et blanc, mais les seins un peu avachis; sa conque semblait trop béante et les lèvres qui la protègent tiraient sur le violet; on voyait bien qu'elle témoignait d'un zèle extrême envers la déesse qu`elle figurait.

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5. Carolyn rougit

Elle semblait si petite, si fragile ! Lorsque Tom, mon coloc, m’a présenté sa nouvelle petite amie, je n’ai pu m’empêcher de rire.  Franchement, elle devait mesurer à peine un mètre cinquante et à la façon dont elle se tenait les bras croisés, les yeux rivés au sol, je l’aurais imaginé plus petite encore !

— Mark, je te présente Carolyn .

Je lui ai tendu ma main et elle a regardé Tom avant de la serrer  comme si elle voulait lui demander la permission.

Elle était assez jolie. Elle avait les cheveux châtain clair raides et mi-longs, des yeux marron sans charme et la peau blanche clairsemée de taches de rousseurs. Elle portait encore les rondeurs de l’enfance, en particulier au niveau du ventre et des fesses.

Elle n’avait pas vraiment de style, vêtue d’une jupe longue et d’une triple couche de hauts sur lesquels elle tirait comme pour cacher sa poitrine, au demeurant plutôt attirante.

Je pense qu’elle remarqua que je fixais sa poitrine car elle croisa ses bras dessus en rougissant.

— Quel âge a-t-elle ?  demandai-je à Tom lorsqu’elle alla se servir à boire dans la cuisine.

—20 ans, pourquoi ?

— On dirait une lycéenne, répondis-je avec un petit sourire.

Tom, était un mec plutôt sympa. Il était assez classique et catholique pratiquant, ce que je n’ai jamais compris. Il n’était pas bien bavard, mais nous étions amis et colocataires depuis l’université. J’avais 25 ans, Tom 24 et notre colocation marchait plutôt bien. Carolyn était sa première petite amie depuis sa rupture avec son amour de jeunesse. Il venait donc de franchir une étape importante dans sa vie amoureuse. 

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Par Irina Du Bois Sainte Marie

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